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 // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé]

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Lindsay Logan
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Lindsay Logan


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MessageSujet: // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé]   // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé] Icon_minipostedMar 27 Mai - 21:23

Hiroko Hamasaki = TIRCYS

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Note : Ce personnage demande un excellent niveau de Rp !

I/ Personnage

a) Générale

Nom : Hamasaki
Prénom : Hiroko
Sexe : Féminin
Date de naissance : le 24 décembre 1990
Age : [minimum 16 ans... maximum 19 ans pour les élèves... pours les profs, l'âge que vous voulez] 18 ans et demi

b) Passé

Histoire [5-6 lignes minimum. Soyez imaginatifs !] : Hiroko Hamasaki est une jeune et belle japonaise aux origines plutôt occidentales. Ses yeux légèrement bridé, ses cheveux d’un brun-roux étonnant, lui ont toujours conféré un charme inéluctable. Pourtant, bien qu’ayant l’apparence d’une jolie poupée, Hiroko n’a pas toujours été la belle cavalière un tantinet arrogante qui galope aujourd’hui sur les terrains de concours.

C’est la veille de Noël que la jeune fille naquit. Sa mère était originaire du pays du Soleil Levant, son père était un anglais à la peau clair et aux yeux noirs. A l’époque, ses parents n’étaient guère riches, et c’est dans l’antichambre de la maison familiale que la petite Hiroko vit le jour. Chose étrange, sa grand-mère maternelle avait élue domicile en Chine, pays voisin du Japon ; sa petite fille apprendrait plus tard que cela n’était point un souhait, plus un désir de survivre.
Le bébé potelé fut nommée Hiroko Anna Carolina, Hiroko du nom de sa grand-mère, Anna étant le prénom d’une princesse anglaise [Anne d’Angleterre], et Carolina, la volonté de son père, et de sa mère. Pourtant, c’est du diminutif de son premier prénom qu’on l’appelait, tandis qu’elle grandissait ; Hiro, la petite fille gai et énergique qui courait dans les couloirs de la maison, qui manquait de dévaler les escaliers la tête la première, qui s’émerveillait devant les paysages alentours. Elle aimait voir les rizières, voir ses femmes et ses enfants, coiffé de leur blanc chapeau, leur tablier de percale hâtivement noué autour de leur taille amincie, leur robe de coton passablement usé, maculé de boue et de terre. Elle, c’était une petit fille aisé dans un sens, même si jusqu’à lors sa famille n’avait pas eu les moyens de la conduire chez un médecin. Elle avait des maladies diverses qu’elle ne comprenait pas, mais dans sa tête d’enfant, c’était de voir sa grand-mère lui tisser des jupes, de voir sa mère lui préparer des sucreries à base de riz et d’accompagner son père à la pêche qui la réconfortait. Un jour, un homme venu des villes, une de ses grandes villes comme Londres, dont son « Papa chéri » lui parlait souvent, proposa à la jeune Hiroko des médicaments pour soigner sa toux. Il disait que cela s’appelait de l’asthme, mais qu’en inhalant un produit régulièrement, on pouvait en limiter les effets. Si ses parents acceptèrent avec gratitude, leur fille, elle, refusa. Elle n’aimait pas ces gens, et même si elle était maladie, même si ses quintes la réveillaient au milieu de la nuit, ce n’était pas grave. Rien ne pouvait être plus grave que d’être arraché à ces lieux tant chéri. Cette idée, ce cauchemar, c’était la hantise de la jeune fille. Elle n’avait que sept ans, et pourtant, elle avait déjà peur, peur en voyant la milice, peur en voyant son père préparer des valises. Elle connaissait les environs comme personne, passait ses journées entières à courir sur les flancs montagneux des collines lorsqu’elle n’avait pas école, s’agrippait aux branches, et s’approchait des rizières, guettant le moindre mouvement des vieilles femmes. Ses distractions n’étaient que minimes, les rares jouets dont elle disposait étaient usés, et c’était peut-être pour ça qu’elle aspirait temps à découvrir la nature qui se dessinait autour de la maison familiale.
Pourtant, sa « réalité » devait être amené à changer.
La petite Hiroko grandissait. Elle avait une dizaine d’années, des yeux légèrement bridé, un visage poupon, des cheveux fins, légèrement roux. Chaque jour, elle aidait sa mère et sa grand-mère dans divers tâches ménagères, la vaisselle, entre autres, avant d’aller courir dehors, si elle avait faits ses devoirs, et si elle n’avait pas école. Son père partait tôt le matin, et rentrait tard le soir, ce qui signifiait qu’il n’avait guère le temps de voir sa fille ; en revanche, il lui ramenait régulièrement de petits cadeaux, des babioles trouvées ça et là. Le plus beau n’était cependant pas encore arrivé ; c’est le jour de son anniversaire, le vingt-quatre décembre, qu’Hiroko reçut son présent le plus joli qu’elle n’avait jamais vu. Si son « Papa chéri » avait été absent pendant si longtemps, c’est qu’il avait été faire un détour par la capitale. Dans une des boutiques à la mode, il avait dépensé jusqu’à son dernier cents pour acheter non pas un livre mais une petite représentation ; Godolphin Arabian, superbe cheval noir, fondateur du Pur-sang anglais. Il était d’origine Britannique, et comme tout anglais qui se respecte, il attachait une importance toute particulière à l’équitation. Ainsi, même s’il savait pertinemment qu’il ne pourrait jamais offrir à sa fille le luxe qu’était de prendre quelques leçons dans un centre équestre, la voir s’intéresser aux chevaux aurait suffi à constituer son bonheur.
D’ailleurs, le quadragénaire n’avait pas tout à fait tort ; le jour de Noël, le lendemain de son anniversaire, le jour où elle avait fêté ses douze années, la jeune Hiro battit des mains et sauta de joie à la vue de son cadeau. Dans la petite campagne si proche de la ville dans laquelle elle habitait, Hiroko n’avait guère le loisir de voir des équidés, ou des cavaliers ; le petit bibelot en était d’autant plus appréciable.
Le problème, c’est qu’en offrant cette figurine, le père de la jeune fille n’avait pas prévu les conséquences de son acte ; la famille n’était pas riche, son travail ne rapportait guère, les frais scolaires étaient assez élevés….Bref, c’est dans une certaine modestie qu’Hiroko avait toujours été élevée, et c’est sans doute pour cela qu’elle s’amusait d’un rien ; mais désormais, elle sembla reléguer au passé sa volonté d’être une bonne fille. C’était peut-être parce qu’elle, en quelques sortes, été privée de jouets dans son enfance que, d’un coup, elle se mit à réclamer tout un tas de choses. Des livres, d’abord. Depuis qu’elle savait lire, elle adorait les livres. Chaque jour, elle en ramenait deux ou trois, empruntés à la bibliothèque de son collège, avant de les achever, un à un, avant la fin de la semaine. Parfois, une amie, une connaissance lui prêtait un ouvrage ; mais malgré ses efforts, la jeune fille ne trouva rien qui traite de l’équitation ; alors elle demanda. Au premier abord, ses parents furent surpris, mais au vu des efforts de leur unique enfant, ils décidèrent de la récompenser, et son père lui ramena un ouvrage documentaire acheté à la librairie anglaise de Hong-Kong, car -est-il important de le dire ? -, Hiroko allait dans un collège catholique, et par conséquent, anglais, et bien que très attaché à ses origines chinoises et japonaises, elle n’avait jamais appris sa langue maternelle. Comme disait sa mère, ces langues inconnues étaient un fléau que bon nombre de gens devaient supporter toute leur vie. En étudiant un dialecte parlé de tous, la jeune fille accroissait ses chances de mener une vie « saine, vertueuse et heureuse ». Tous les soirs, l’adolescente devait se plier à une rapide prière, parfois un Rosaire murmurer en famille, les doigts de chacun courant sur les perles en bois de son vieux chapelet ; si on avait le temps, on se rendait à la messe, chaque dimanche, se prêtant à une religion occidentale, une qui promettait un avenir « sain, vertueux et heureux ». Pourtant, malgré son éducation, Hiroko changea radicalement de comportement. Etait-ce parce qu’elle venait d’entrer dans la phase délicate qu’était l’adolescence ? Etait-ce parce qu’elle s’était rendu compte qu’elle avait été privé de trop de choses, que son existence ne lui convenait guère ? Personne ne le sut jamais, mais tout le monde apprit à connaître la nouvelle Hiroko Hamasaki. Désormais, à table, on discutait équitation. Curieuse, désireuse d’en appendre un peu plus, la fille demandait au père de lui parler des pur-sang, du cuir reluisant des selles, des étriers rutilant. Comment, pourquoi, où, quand, autant de questions qui affluaient lors des dîners. Ainsi, en seulement quelques mois, grâce à son père et à ses lectures, Hiro devint presqu’incollable sur les chevaux ; à la théorie devait bien sûr succéder la pratique, mais comme dit plus haut, les moyens financiers des japonais émigrés en Chine n’étaient pas florissants.
Ce n’est cependant pas pour cela qu’Hiroko décida de compromettre son rêve ; son ancienne hantise de devoir quitter « son pays » avait disparu, laissant place à un désir nouveau, prometteur, plus joli que ces contrées asiatiques. Elle voulait voir le reste du monde, découvrir les villes, les vrais, pas les bourgades chinoises qu’elle connaissait depuis sa plus tendre enfance, et par-dessus tout, elle voulait apprendre à monter à cheval. Elle n’avait que quatorze ans, guère d’argent, mais des idées et des envies plein la tête. A ses yeux, c’était le plus important. Mais quand elle évoqua ses derniers esprits à sa mère, cette dernière ne se montra pas aussi enthousiaste qu’elle l’aurait voulu. Où était-donc passé son avenir « sain et vertueux » ? Le bonheur n’avait plus de place dans tout cela, si la jeune fille voulait quitter sa famille, s’envoler vers l’Europe, l’Amérique, vers tous ces continents qui offraient tant de possibilités ! Ses prières ne lui avaient donc pas montré le bon chemin à suivre, la route à emprunter pour aboutir au seul et unique désir de sa « pauvre mère » ? Mais si, bien sûr que si. Face au refus de sa mère, Hiroko se trouva obliger d’aligner une bonne dizaine d’arguments, chacun ayant pour but de lui démontrer que la Chine n’offrait rien, rien de bien encourageant, pas d’argent, pas de savoir, pas de vie, tout simplement. Si elle partait ailleurs, ce n’est pas pour autant qu’elle renoncerait à sa religion, à sa langue, ou bien qu’elle renierait ses origines ! D’ailleurs, son père avait de la famille, en Angleterre, pourquoi ne pas l’y envoyer ? Elle découvrirait Londres et des oncles, tantes et cousines qui lui étaient jusque-là rester inconnu. Elle pratiquerait un anglais meilleur, elle pourrait apprendre un métier (son désir secret était de devenir cavalière, une de ces cavalières dont les journaux parlaient régulièrement, mais pour convaincre ses parents, ce n’était sans doute pas une chose à dire). Devant une telle force, une telle énergie déployée pour lui faire entendre raison, la mère de la jeune fille décida de remettre les choses en questions, sans pour autant promettre quoi que ce soit. Elle parla de la dernière lubie de leur enfant à son mari, qui contrairement à ce qu’elle croyait, considéra cette possibilité. Sa mère, disait-il, possédait une jolie petite maison, à l’extérieur de Londres. Elle ne roulait pas sur l’or, la vie en Europe était plus facile qu’ici, en Chine, et depuis la mort de son mari, elle touchait un peu d’argent tous les mois. De plus, ses revenus lui permettrait d’offrir quelques leçons d’équitations à Hiroko ; ce serait donc une bonne chose, pour tout le monde, d’envoyer la jeune adolescente de quatorze dans sa famille occidentale. Seul problème, rapidement évoquer : le coût du billet d’avion. Devait-on investir toutes les économies si durement gagnées, rien que pour satisfaire les envies d’une jeune fille ? Malgré tous les arguments avancés par le père et la fille, cela semblé un peu exagéré, tout de même. Pourtant, la volonté eut raison de tout le reste, et à l’aube de ses quinze ans, Hiroko Anna Carolina embarqua à l’aéroport de Hong-Kong, un billet d’avion en partance pour l’aéroport de Heathrow, Londres, Angleterre.
Et elle fit la connaissance de Mary, ou « Grand-Ma », sa grand-mère, celle qui l’accueillait avec joie en son humble demeure. Pour tout dire, son domicile n’avait rien d’une humble demeure ; c’était une construction comme en on voyait beaucoup à l’époque, avec une terrasse et de larges baies, un petit bout de jardin, bref, un pavillon moderne à quelques minutes de la capitale. Première surprise pour la jeune fille, le luxe auquel elle avait à faire ; les fleurs dans les jardinières, les tableaux dans le couloir, les vases en porcelaine (de Chine ?!). La deuxième était beaucoup plus belle, plus prometteuse ; quelques heures au nouveau Poney-Club de Fulham, à treize minutes de Londres. Les chevaux étaient loin d’être au si beau que les pur-sang dont Hiroko rêvait, mais l’idée d’apprendre à monter à cheval suffisait à la combler.
Elle commença les leçons assez rapidement. Dans son nouveau collège, on finissait les cours à trois heures et demie de l’après-midi ; avec l’argent prêté par Grand-Ma, elle pouvait prendre le bus jusqu’à Fulham, et s’offrir une heure, parfois deux de cours particulier. Le samedi après-midi était jour de ménage, mais si elle se débrouillait bien, la jeune fille réussissait à achever ses corvées ménagères dans la matinée, et elle pouvait donc prendre part à un cours collectif. A ce rythme-là, c’est un euphémisme que de dire que très vite, elle devint bonne cavalière. A tel point qu’elle passa son premier galop, récompense qu’elle fut fière d’afficher sur la tapisserie à fleurs de sa chambre, et de commenter avec joie à ses parents. « Tu nous manques, disait sa mère. Mais j’espère que tu pries, que tu es généreuse et que tu te montres respectueuses vis-à-vis de Mary ». Oui, Hiroko l’était. Après un an passé loin de « son pays », elle n’avait pas oublié la promesse faite à sa mère ; celle de passer une existence saine, vertueuse et heureuse. Pourquoi une telle promesse, se demandait-elle parfois ? Avait-elle peur de ne plus jamais la revoir ? C’était stupide.

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MessageSujet: Re: // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé]   // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé] Icon_minipostedMar 27 Mai - 21:24

Dans sa nouvelle famille, qui elle, avait de l’argent, ce n’était pas un billet d’avion qui allait empêcher quoi que ce soit, au contraire. Toutes les semaines, la jeune fille recevait vingt livres sterlings d’argent de poche, qu’elle était libre de dépenser comme elle l’entendait ; étant donné qu’on lui payait ses leçons, ses tickets de bus, bon nombre d’extra, c’était un peu de l’argent superflu. Mais le fait était pourtant-là : Grand-Ma était assez riche pour se permettre une telle chose. Alors pourquoi avoir peur de ne plus revoir ses parents ? De temps à autres, lorsqu’elle n’arrivait pas à dormir, Hiroko repensait à son enfance, à la petite fille qui courait dans les champs et qui allait observer en cachette les femmes et les enfants dans les rizières, occupés à leur triste besogne, les pieds dans la boue et leurs vêtements tachés ; et elle s’en voulait. Cette pensée ne durait guère longtemps car ses yeux se portaient sur ses diplômes, ses trois galops preuve de son talent, preuve de sa nouvelle vie tellement meilleure que l’ancienne. Pourquoi avoir voulu partir, tout d’un coup ? Sa grand-mère japonaise était âgée, Hiro devait se douter qu’elle ne la reverrait plus jamais…
Mais très vite, un nouvel évènement s’empressa de balayer les derniers doutes qui subsistaient encore dans la tête de la jeune fille. Dans son centre équestre, on la trouvait doué ; un moniteur l’avait même remarqué. Et comme on l’avait remarqué, on lui proposa de sortir en concours. Un petit truc, pas grand-chose, mais c’était déjà un bon début. Evidemment, la jeune fille s’empressa d’accepter, et comme on peut s’en douter, elle finit placé, sans pour autant se douter que ce ne serait pas la dernière fois. Moins d’un an après sa victoire, après avoir amassé quelques victoires dans des concours de la région, une monitrice lui demanda à nouveau de prendre part à une manifestation équestre, dans le nord du pays. C’était un peu éloigné de Londres, Hiroko n’avait participé qu’à une seule vraie compétition, mais on trouvait souvent des sponsors, des académies, bref, tout un tas de gens qui seraient susceptibles de la remarquer, et éventuellement de la recontacter. Forte de cette idée, la jeune fille n’eut aucun mal à convaincre « Grand-Ma », et elle prit donc le train à la gare de Waterloo, direction Sheffield.

Et elle s’en tira avec une triple victoire. D’abord la médaille, frappé à ses initiales. Puis le contrat proposé par un représentant ; il travaillait pour une académie peu connue, situé quelque part en Australie. Cependant, les équipements étaient excellents, les professeurs de haute renommée, bref, c’était un endroit idéal pour se perfectionner. A la surprise initiale d’Hiroko succéda l’enthousiasme, et elle osa à peine demander à cet homme, ce parfait inconnu pourquoi elle parmi tant d’autres avait été choisie. C’est vrai, elle connaissait à peine le monde des concours, elle montait à cheval depuis seulement quatre ans….Mais selon lui – John Hanger Cook, se présenta-t-il -, tout ce qu’il fallait à la jeune fille, c’était une monture ; à partir de là, elle avait le talent nécessaire pour devenir une championne, quelqu’un de mondialement reconnue, formée par les meilleurs enseignants. Le soir même, Hiroko fit part de ce projet à sa grand-mère, qui contrairement à ce qu’elle croyait, l’encouragea vivement. Elle disait qu’elle se chargeait de l’accord de ses parents, qu’elle lui laissait le soin de régler le sujet délicat e son cheval, et qu’il ne fallait surtout pas refuser une telle offre. C’était la promesse d’un avenir ô combien excitant, bien loin de celui que souhaitait la mère de la jeune fille, mais tellement meilleur ! L’enthousiasme proche du délire effaçait d’ailleurs toute trace d’éventuelles promesses hâtivement murmurées quelques années en arrière, et la perspective d’avoir un cheval, son propre cheval, était d’ailleurs la plus belle idée jamais rencontrée jusqu’à ce jour.

C’est à peu près ainsi que le premier décembre de cette même année, Hiroko Anna Carolina se retrouva propriétaire de Midnight Lady ; c’était une splendide jument, à la robe d’argent et à la crinière pâle comme la lune ; dans ses veines coulait du sang Anglais, quelques gouttes de sang Arabe, et si l’on remontait la lignée, on pouvait peut-être avoir un peu de sang royal. Elle avait un fort caractère, mais un talent assez prometteur ; jeune, à peine cinq ans, « Grand-Ma » avait réussi à l’acheter pour pas grand-chose, après que sa petite-fille l’ait remarquée. Même si l’autorisation parentale avait posée plus de problèmes – beaucoup plus de problèmes, ce n’était pas grave. Comme l’avait habilement fait remarquer la grand-mère d’Hiroko, dans un an, celle-ci serait majeure, et alors émancipée, elle serait libre de ses actes. Le tout était de faire tenir en haleine l’Académie Australienne, en leur disant qu’elle préférait se perfectionner quelques mois encore, afin de ne pas les décevoir, ce qui était vrai, dans un sens. Hiro, qu’en prévision de sa future existence on commençait à appeler Anna, continua donc les concours, apprenant à connaître son nouveau cheval, et découvrant de nouvelles techniques. Et lorsque le vingt-quatre décembre, les douze coups de minuit eurent sonnés, se moquant pas mal de l’heure indécente et de l’ancienne promesse faite à sa mère, elle téléphona à un certain John Hanger Cook. Voulaient-ils toujours d’elle, ans cette fameuse école ? Elle avait fini avec ses études scolaires, elle avait un modeste diplôme en poche, cela lui était suffisant, elle pourrait donc se consacrer pleinement aux compétitions ; cela suffit à convaincre le jeune homme, les directrices de l’Académie, et la jeune fille elle-même. Ses parents et son pays n’étaient plus qu’un vague souvenir. Désormais, « Anna » Hamasaki voyait s’ouvrir devant elle tout un tas de projets, plus excitant les uns que les autres…
Ancien Lieu d’habitation : un petit village au nord de Hong-Kong, puis un pavillon dans la banlieue Est de Londres.


c) Situation familiale

Parents [faîtes une description rapide d’eux] : Son père s’appelait Andrew. Andrew Spencer, pour être exact. Né dans une famille assez aisée, qui avait les moyens, il se prit d’affection assez rapidement pour les chevaux, et l’équitation. Bien que n’ayant très peu connu son père, un militaire surnommé « Le Colonel » non seulement par son entourage mais aussi par ses propres enfants, il entretint avec lui une relation amicale, joyeuse et agréable. Cet homme était certes, sévère, mais il n’aimait guère sa fille, la cadette d’Andrew, une petite brune qui se comportait telle un peste et que son père corrigeait régulièrement, et il reportait son affection sur son seul et unique fils, l’héritier de toute une génération, comme il disait. Pourtant, qui se serait douté que se quinquagénaire dans la fleur de l’âge, stricte envers lui-même et envers les autres, toujours exigeant, celui qui racontait volontiers des anecdotes sur son passé militaire et qui aimait le bon vin, souffrait d’un cancer métastasé du foie ? En quelques mois, s’en eut fini de lui. Il laissait derrière-lui une veuve, deux orphelins, et un grand vide parmi ceux qui lui avait témoigné leur reconnaissance, et ceux qui faisaient semblants de le détester, alors qu’ils lui vouaient une certaine admiration. Alors âgé de dix-huit ans, Andrew, souffrit énormément de ce départ précipité ; « Le Colonel », toujours par monts et par veaux, bien qu’aimait beaucoup son aîné, n’avait jamais pris le temps de connaître ce fils. Il se contentait de l’emmener à la pêche et de le féliciter pour ses bonnes notes. Pour le reste, c’était à sa femme qu’il confiait la tâche de s’occuper de sa famille.
Est-ce pour cela que le jeune homme décida de s’exiler ? Parce qu’il n’avait jamais vraiment eu de figure paternelle comme il en rêvait parfois ? Peut-être. Sans un diplôme en poche, avec juste la bénédiction de sa mère et deux mille livres sterlings dans son portefeuille, il partit pour la Chine. Le continent asiatique lui plaisait depuis longtemps….Et c’est là qu’il fit la connaissance de sa femme. Elle se nommait Sayuri Hamasaki, et vivait en Chine depuis quelques années. Elle avait le même âge que lui, elle était belle, jeune et instruite ; ses cheveux noirs tombaient en cascade sur ses épaules, ses yeux en amandes et sa peau de porcelaine lui conféraient un charme tout particulier. Elle était vendeuse dans un magasin quelconque, un de deux qui vendaient des bibelots comme un peu partout dans Hong-Kong, et elle n’avait pas beaucoup d’argent ; mais Andrew tomba aussitôt amoureux d’elle. Le coup de foudre, en quelque sorte. Si « Le Colonel » avait été encore vivant, nul doute qu’il se serait opposé à un éventuel mariage entre les deux jeunes gens, mais n’était-ce par parce qu’il était mort que son fils était parti pour la Chine ? Avec l’accord et la présence de sa mère, il épousa donc la douce Sayuri, après seulement un an de rencontre. Et comme pour bannir de son esprit toute trace de sa vie antérieur, il prit le nom de la jeune fille, un nom typiquement japonais, aussi bien pour se fondre dans la foule et que pour débute une nouvelle existence. Il avait réussi à obtenir un travail qui payait assez bien, suffisamment pour subvenir au besoin de sa nouvelle famille, et le petit job de sa femme permettait de boucler les fins de mois. De plus, c’est dans la demeure familiale, la maison acheté plusieurs années auparavant par Hiroko Hamasaki, la mère de Sayuri, qu’ils s’installèrent, économisant ainsi un loyer, qui leur aurait plombé toutes leurs économies. Pourtant, lorsque leur première et unique fille naquit, la jeune femme dut abandonner son travail, alors qu’il y avait une bouche supplémentaire à nourrir. C’est à ce moment-là que les difficultés financières commencèrent pour le couple, et que, le besoin se faisant ressentir de plus en plus, Andrew se fit embaucher dans une grosse compagnie européenne dont certains locaux avaient été délocalisés à Hong-Kong et à Shanghai ; son salaire fut plus conséquent, mais étant toujours en voyage, il n’avait guère le loisir d’être en présence de sa femme et de sa fille, nommée Hiroko, et sans même s’en rendre compte, il suivit ainsi la destinée de son père.

Aujourd’hui, « Anna », de son nom anglais, n’a plus vraiment de nouvelles de sa famille restée en Chine. S’ils l’ont laissés partir pour l’Angleterre, ils ont refusés la voir intégrer une Académie Equestre, prétextant que ce n’était pas sain pour une jeune fille de mener une telle existence. En refusant de les écouter et en attendant d’être émancipé pour pouvoir réaliser son rêve, Hiroko a donc, dans un certain sens, coupé les ponts. Pourtant, une partie d’elle-même aimerait revoir la Chine. La demeure de sa grand-mère, les rizières, les champs et les montagnes, la ville. Autant de lieux qui ont abrités son enfance et ses rêve poupon, qui ont été le théâtre de joie et de déception. Mais si la jeune fille devenue femme avait à choisir entre sa vie passée et son existence anglaise, son choix se porterait pourtant sur le pavillon londonien de sa grand-mère occidentale, « Grand-Ma ».
Frères/Sœurs : [dîtes le nombre, l’âge etc.] //
Autres : [Facultatif : si vous avez autre chose à dire sur votre famille]

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MessageSujet: Re: // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé]   // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé] Icon_minipostedMar 27 Mai - 21:25

d) Description morale

Caractère : [minimum 3 lignes… si votre personnage est plutôt sage, travailleur, arrogant, courageux… ne mettez pas tout d’un coup non plus =)] Assez sage, « Anna » travaille beaucoup. Elle ne travaille pas pour le plaisir, même si son amour pour l’équitation facilité grandement les choses, mais parce que son éducation lui a apprise à être consciencieuse, appliquée et studieuse. Certes, elle n’a qu’un diplôme de fin d’années, mais elle désire plus que tout se consacrer aux chevaux et à la compétition, et pour elle, c’est le plus important. Hormis cela, Hiroko est également une jeune femme assez sage ; elle n’a jamais pris part aux fêtes animées des lycéens, ne boit que très peu d’alcool, n’a jamais pris de drogue de sa vie. Sa seule extravagance est le tabac, s’autorisant une petite cigarette mentholée de temps à autres, lorsqu’elle a besoin de se détendre. Bien loin de prendre sa comme un vice, un écart de conduite à son éducation catholique, elle considère avec philosophie que dans chaque cœur se mêle la compassion et la cruauté, que dans chaque être sommeille un peu de tendresse et des défauts déroutants ; elle n’est pas parfaite, et l’admet volontiers, et elle ne revendique pas pour autant ses qualités, mais elle apprend à se gérer. Elle maîtrise ses émotions et ne se laisse pas facilement aller, refusant de paraître fragile en présence d’autrui, refoulant au fond de son âme les sentiments qui la submerge parfois. Travailleuse, discrète et sage. Jadis, c’était pas ces trois mots que sa mère envisageait son avenir ; mais en grandissant, sa fille à peu à peu abandonné les discours religieux et les prières, délaissant les Rosaires et ignorant le chapelet négligemment posé sur le rebord du fauteuil ; son existence vertueuse a disparu, ne laissant qu’un vague souvenir dans la mémoire de la jeune femme, qui, ce pendant, prie, parfois, comme pour entretenir le dernier lien qui la lie encore à sa famille restée en Chine. Mais les livres philosophiques qu’elle a lu et qu’elle affectionne ont tôt faits de chassés ses pensées pieuses, et elle appréhende le monde qui l’entour avec une sorte d’objectivité et de sagesse déroutante. Hiroko. Depuis son arrivée en Angleterre, elle aime à ce qu’on l’appelle Anna, ou Anne. Sur son visage se lisent ses origines japonaises, mais pour un peu qu’on ne la connaisse pas, elle parle l’anglais, l’espagnol et le français à la perfection, connaît à peu près par cœur l’histoire de l’Empire Britannique, et depuis peu, s’intéresse à la culture japonaise. Elle n’a pas de diplôme digne de ce nom, mais son savoir dépasse de loin celui de bon nombre d’anglais ; son trilinguisme lui a d’ailleurs valu bon nombre de félicitations, et aujourd’hui, la jeune femme le met à profit pour s’ouvrir de nouveaux horizons.
Qualités : [faîtes des phrases Wink] Assez douce, objective, philosophique, patiente, travailleuse et consciencieuse, tels sont les mots les mots qui caractérisent le mieux Hiroko. Autant de qualités vouées par sa mère, auxquelles la quadragénaire ajouterait volontiers la piété, symbole pourtant rapidement délaissé par sa fille unique. Malgré cela, la jeune femme entretient un certain calme, une sorte de sagesse qu’elle met à profit dans son travail vis-à-vis de sa jument, une pouliche vive et énergique qui a besoin de douceur et de patience pour mettre son potentiel à profit de sa cavalière.
Défauts : [faîtes des phrases également] On pourrait dire que les défauts d’ « Anna » sont peu nombreux, voir inexistants, mais en philosophe aguerrie, la jeune femme sait qu’il n’en est rien. Si elle sait se comporter comme une grande dame, de la jalousie sommeille pourtant dans son cœur, souvenir d’une époque où [elle] n’était que petite fille vivant dans un milieu trop modeste. La malveillance est souvent présente derrière son doux regard, de l’animosité qu’elle arrive à dissimuler derrière un sourire charmeur, arrivant à se convaincre qu’il faut savoir comprendre les autres sans les juger. Le mépris et l’arrogance complète le tableau, autant de vices qui se trouvent en chacun de nous, selon Hiroko. Mais la différence se trouve dans la capacité à le dissimuler, sans son savoir à se maîtriser.
Signe particulier : [facultatif]

e) Description physique

Personnage : [description des cheveux, des yeux, de la taille etc.] La jeune femme n’est pas spécialement grande ; seulement un mètre soixante-quatre, le souvenir de ses origines asiatiques. Mais pourtant, on l’aime, on aime son regard doux, clame et séducteur, ses prunelles sombres dans lesquelles brille un éclat étrange et rassurant. Ses lèvres, fines et rouges, qui s’entrouvrent pour murmurer une parole encourageante ou un chuchotement apaisant ; son nez, un peu aquilin, et ses pommettes, hautes et légèrement osseuses. Sa peau, blanche, son teint de porcelaine qui fait ressortit la couleur sa chevelure ; jadis noir de jais, quelques séances chez un coiffeur londonien ont suffi à transformer ces cheveux en de jolis boucles brunes, presque rousses. C’est comme ça, que la jeune japonaise se plaît ; elle aime ressembler aux occidentaux, même si certaines choses, telle que la forme de ses yeux, sont irréversibles. Mais sa plus grande qualité, c’est sa démarche ; elle est gracieuse et élégante, digne et assurée. On la considère comme une grande dame malgré son jeune âge, tant son regard sur l’extérieur est empreint de véridicité. Svelte, pas spécialement magnifique mais faisant preuve d’un charme certain, la jeune femme sait s’imposer aux autres ; manipulerait-elle son entourage ? Peut-être. Comme elle le dit elle-même, chaque être est pourvu de défauts qui ressortent parfois au moment opportun. Mais son pied, son pas lent et gracieux, son visage doux, ses yeux bridés et son teint frais ont tôt faits de dissiper les quelques doutes éventuellement formulés à son sujet.
Vêtements : [ce que votre personnage à l’habitude de porter] Le style d’Hiroko est assez classique ; elle adepte du bon vieux jean et du pull à rayures, tenue qu’elle porte habituellement. Toutefois, n’allez pas croire qu’elle aime le négligé ; non, bien au contraire. Ses vêtements sont toujours impeccablement repassés, et dépourvu de tâches ; parfaitement à sa taille, elle ne porte jamais de jean déchirés ou trop longs, et si il y a un ourlet sur le bas, c’est que le jean en question a été acheté comme ça. Hormis cela, la jeune femme porte parfois des chemisiers, de ceux qui ont une allure sportswear mais qui vous donne quand même un air sérieux, le compromis entre la tenue détendue et celle plus habillée ; les talons aiguilles font également parties de la garde-robe d’Hiroko ; d’une part à cause de sa petite taille, d’une autre part parce qu’il mette en valeur sa taille fine.
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Lindsay Logan
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MessageSujet: Re: // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé]   // Hiroko Hamasaki [TIRCYS] [Excellent niveau de RP exigé] Icon_minipostedMar 27 Mai - 21:27

II/ Votre cheval

Nom : Midnight Lady
Affixe : Midnight Stables
Age : 6 ans
Race : Anglo-arabe
Robe : Gris Argent et crins blancs
Sexe : [Etalon, Hongre ou Jument] Jument
Caractère : [faîtes un minimum de deux lignes] Vive. Energique. Impulsive. Charmeuse. Séductrice. Tels sont les mots qui semblent onduler sur la crinière pâle comme la lune de la jeune jument. Ses membres fins, sont chanfrein légèrement camus, ses prunelles sombres et mystérieuses lui confèrent un charme étrange, tentateur. Elle est malicieuse, douée, pourtant ; elle aime le saut d’obstacles, la vitesse. Bien loin d’obéir quand on le lui demande, elle donne l’impression d’être son propre chef et de ne réagir qu’à sa propre volonté, tandis qu’elle s’envole au-dessus des barres bleues et blanches d’un oxer. Son physique de pur-sang arrive cependant à convaincre les amateurs comme les professionnels que peut-être, quelqu’un pourrait réussir à l’éduquer, elle, l’indomptable, l’insoumise. Indomptable n’est pourtant pas le terme approprié, puisque, quand on sait la prendre, Midnight Lady se montre gracieuse et jolie, et peut-être même soumise…
Photo :

Au début, vous avez 40 points, vous devez les distribuer tous dans les disciplines suivantes. Attention à ne pas en rajouter !

Dressage : 7
Saut d’obstacle : 10
Course : 5
Pony-games : 3
Attelage : 0
Voltige : 5
Horse Ball : 0
Ethologie : 2
Endurance : 5
Western : 0
Amazone : 1
Cross : 2

III/ Lettre de motivation

Et oui ! Une toute nouvelle idée, découverte par moi-même.... dès que vous avez fini votre présentation, ou avant, il faut envoyer une lettre de motivation, avec les raisons pour lesquelles vous voulez rentrer à Secret School, en jouant le jeu SVP ! Cette lettre sera envoyé à une des deux admins, et nous jugerons sur la qualité, afin de juger votre niveau ! Vous devez l'avoir envoyé avant de pouvoir jouer. Une dizaine de lignes minimum est demandé... merci =)

IV/Toi

Nouvelle partie également... merci de répondre Wink

Prénom :
Age :
Que penses-tu, sincèrement, de Secret School ?
Comment as-tu découvert le forum ? [si c'est avec IE, un top-site, un site partenaires...]

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